Un Retour au Passé.[Libre]

Servant / Gardien Messages : 10 Date d'inscription : 19/01/2009

Souvenir d’il y a 10 ans.

Des ruines, cicatrice d'une guerre invisible, incomprise par le commun des mortelles, s'étendaient la ou autrefois la vie menée par l'activité humaine avait ses droits. Un quartier entier n'était plus qu'amas de pierres disloquées et de poussière. Au centre de cette désolation, aucun bruit ne venait perturber le silence pesant qui régnait en maître, même pas un cri, ni même une larme, toute trace de vie avait été annihilé par une force insondable dépassant l'entendement de la raison. Mais, ce cadre effroyable abritait quelque chose de bien plus étrange encore, deux humains se faissaient face ; vêtu d'étranges armures sorti tout droit de l'air moyennes-ageuses. Mais le plus étonnant de tout était que l'un des deux antagonistes était une jeune femme d'à peine un mètre cinquante ! Son épée aux reflets argentés qui renvoyait l'image des feux hardent qui brûlaient autour d'elle, était presque aussi grande qu'elle. Ces deux chevaliers, tout droit sorti de contes et légendes étaient face à face pour en découdre, arme levée, la jeune femme tenait tête à son rival, un homme tout d'or vêtu. Ses cheveux blonds donnaient l'impression d'être recouvert d'une fine couche doré, s'accentuant d'autant plus par la lumière des flammes qui dévoraient le quartier. Le roi doré, ou Gilgamesh tel était son identité secrète connue que par de rares élus ! Il lorgnait la jolie femme d'un oeil de convoitise, la beauté naturelle de la chevalière l’avait conquit des leur rencontre, qui pourtant n'était guère propice à la légèreté d'un rendez-vous ! Après tout il était la pour une raison bien précise et quelle raison ! La plus importante de toute pour ces êtres damnés ! Oui Gilgamesh était bien une personne maudite comme tous ceux de son statut de servant. Des héros du passé qui revivent que pour la guerre, sang et douleur sont leurs seuls lots dans ce cycle sans fin et la seule façon d'en sortir était de gagner la guerre et toucher la relique légendaire, le Saint Graal, capable d'exaucer tout les souhaits de son porteur. Mais le servant doré n'en avait cure de tout ça, il n'était guère insupporter par tous les combats qu'il avait vus défilé devant ses yeux, au contraire. Sa supériorité lui permettait de jouer à sa guise avec ses victimes, le plus grand de tous les servants prenait plaisir à humilier et à arracher tous honneurs à ses opposants. La seule chose qu'il souhaitait, il l'avait rencontré il y a peu, Saber, la femme qui lui faissait face en engagent un combat de regards déterminés et insoumis en cet instant, était devenu l'objet de toutes ses convoitises. Il la voyait comme une rose éclatante au milieu d'un désert stérile et il n'avait qu'une envie, arracher cette jolie fleur pour la couper de toutes libertés et la faire sienne à jamais ! A cette pense sadique, les lèvres du roi des rois s'étendirent pour former un sourire ou se reflétait toutes ses idées malsaines. Les prunelles noires insondables de Gilgamesh, entourées des iris rouges sang, tremblèrent d'instabilités devant l'objet qui serait bientôt sien, Saber sera sienne, tel était le destin immuable qui s'accomplirait sous peu. C'est sur un ton emprunté de supériorité et d'arrogance qu'il s'adressa à la jeune femme, son visage affichant toujours un air aussi inquiétant par la noirceur qui s'en dégageait !

<< Saber, soit mienne ! Tu as l'immense honneur d'être l'heureuse élue qui partagera ma vie ! Epouse moi, le destin ne se jouera pas autrement, alors évite toi un maximum de souffrances en accédant à cette requête que tu ne pourras refuser ! >>

La femme servant, à ces mots fut envahit par une rage intense et sans limites, son visage plus renfrogné que jamais était tout aussi plaisant aux yeux de Gilgamesh. Sans émettre la moindre réponse la guerrière se jeta à corps perdu en poussant un cri de guerre. Le roi doré, ne put que constater avec déception qu'elle avait choisi le chemin le plus difficile et le plus douloureux qui l'amènerait à lui être enchaîné pour l'éternité ! Pour toute réaction le servant doré n'eut qu'un petit rictus en coin, en pesant à l'inutilité de la lutte de sa promise pour se défaire de son emprise implacable. Il évita la charge avec facilité, se contenant de reculer à une vitesse vertigineuse en marche arrière, ses pieds ne touchant même pas le sol, il était en lévitation et contrôlait parfaitement sa vitesse impressionnante. La brave Saber ne se découragea pas et en exécutant un saut des plus acrobatiques, elle retomba lame la première sur son ennemi. Mais rien à faire Gilgamesh resta imperturbable et intouchable. Il se rendit compte en observant la détermination de Saber face à lui que la seule façon de lui faire accepter son destin était de lui enlever toutes combativité, en claire, la battre à plate couture en lui faissant visiter les frontières de la mort avant de la ramener en ce bas monde.

*Soit, tu as choisi ce qui t'arrive Saber, tu ne pourras t'en prendre qu'à toi-même !*

Il brandit son épée à bout de bras tendu vers l'extérieur en chargeant à son tour son opposante, la vitesse de sa lame qui fendait l'air laissa une déchirure dans le vide à mesure que l'espace se rompit par cette force et cette rapidité d'attaque déconcertante. A l'approche de ce final qui allait sans nul doute lui donner raison, l'expression de son visage s'accentua dans la démence, ses yeux écarquillés par l'effet hypnotique de sa folie passagère et son sourire d'autant plus large réclama le sang de la jeune femme. Le choc était imminent maintenant, il dirigea sa lame vers l'avant en se courbant légèrement en arrière pour donner plus d'impact dans son coup. Alors que les deux lames se frôlèrent pour chacune atteindre leurs cibles, un élément improbable et surnaturel se produisit. Une immense explosion, souffla tout sur son passage à des kilomètres à la ronde, engloutissant dans un déluge de flammes chaque particule prise dans son étau incandescent. Gilgamesh fut contrait de fermer les yeux tant la lumière intense de cette déflagration l'éblouissait. Quand les éléments déchaînés se calmèrent, il put enfin rouvrir ses yeux, pour constater qu'il était maintenant seul au milieu des cendres fumantes. Saber avait disparu ! Malgré la déception de ce réveil brutal, Gilgamesh resta optimiste, ils se reverraient ça ne faissait aucun doute, la prochaine guerre de Graal scellera le destin de la jeune femme. Il quitta la terre calcinée le sourire aux lèvres, dans dix ans il pourrait finir ce qu'il avait commencé et que représentait dix années pour un être immortel ?

Retour au présent

10 ans sont passées depuis que la dernière Sainte Guerre s'était écoulée. Gilgamesh était revenu ici. La ville avait été reconstruite et offrait de très beaux buildings et autre. Cette ville était l'art des Humains.

[i]

[Fin du Rp nul je dois go]

Kusari avait emménagé dans un appartement dont elle payait le loyer en travaillant dans un bar comme serveuse. Ce travail avait l'aventage de ne pas solliciter ses neurones, ce qui lui permettait de garder pour elle la gestion de sa réflexion. Bien que ses Créateurs soient dispersés, elle savait qu'ils la mettraient sous surveilance dès que possible. C'est pourquoi elle avait choisi un métier et un appartement banals. Elle passait désormais le plus clair de ses journées à passer innaperçue, et à tester ses capacités en toutes sortes de circonstances. Mais elle se rendit vite compte que ces situations l'aidaient au lieu de lui fournir le handicap réaliste qu'elle espérait, car il était plus difficile de repérer une expérience humaniforme dans un groupe en effervescence sur l'instant que dans une société composée d'individus normaux, dans la durée. Elle savait que le silence des témoin pouvait jouer en sa défaveur tout autant que leurs paroles, et s'employait donc à exister un minimum, le strict nécessaire. En fait, elle n'existait que dans l'esprit des témoins dont elle avait besoin pour préserver sa sécurité et, à long terme, lui permettre de renouveler sa propre expérience. Elle passait son temps libre à se promenern ou à acheter dans des boutiques des objets, ustenciles ou accessoires, qu'il était considéré comme normal de vouloir acheter. C'est lors d'un après-midi ou elle était sortie acheter des bibelots qui ne lui srviraient à rien et encombreraient son espace vital qu'elle nota une différence avec les journées précédente. Mauvais signe. Tokyo était une grande ville, dont les visages des passants n'avaient pas de consistance réelle pour les autres. Il était habituel de croiser une foule de gens, insolites ou on, sans s'arrêzter ou se retourner. Auparavent, cette différence l'aurait stoppée net, mais elle ne s'interrompit pas dans son mouvement initial, car elle s'était habituée de force à ne pas se dénoter du groupe quelles que soient les circonstances. Elle prit en un instant l'attitude et l'air flaneur et insouciant des habitués de la ville qui parvenaient à se ménager quelques heurs pour aller et venir à leur guise dans les labyrinthe des rues et ruelles, comme des touristes. Des touridtes calmes. Son regard se posait sur une chose pour rebondir vers autre. Il était si simple de copier la façon de faire des humains. Son regard se posa sur l'Inconnu, qui avait attiré son attention au point qu'elle avait changé en public d'attitude générale, et s'y arrêta volontairement. elle s'approcha sans se presser vers celui qui ne marchait pas comme le reste de la population.
- "Vous êtes perdu?"
C'était là une hypocrisie pure de sa part: elle savait pertinement qu'il n'était pas perdu, qu'il savait ceu'il fesait bien mieux qu'elle, et son attitude prouvait qu'il ne souhaitait pas être aidé d'une quelconque façon que ce soit. Elle avait posé la question uniquement pour lui parler: il y avait quelque chose qui clochait chez lui et elle voulait savoir quoi.

[HRP: Désolée du retard, j'ai du passr quelques jours sans conexion. J'espère que ce post en vaut la peine...]

Nouveau Membre Messages : 6 Date d'inscription : 09/02/2009

Un portail s'ouvre et emporte Kusari

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» Rukia de retour à Karakura [PV: Soji Okita]